À monter et descendre les escaliers de la tendresse , le Rêve prit Vie.

Nietzsche m'appelait Lune , lui , il avait trouvé ça beau d'appeler une fille qu ' il n 'avait jamais vue Lune dans une lettre qu 'elle ne lirait jamais .

-Nietzsche : Ma chère Lune ne pourrais tu au moins une fois dans ta vie rester moins arrogante avec celui qui restera maranisé , répudiant son monde pour tes beaux yeux alors que tu restes plantée dans ton coin avec tes pots de fleurs depuis des années ?

-Le voyageur du réveil: Madame Caggini , mettez le « Réveil » de Mr Nietzsche en marche et rêvez avec les ânes que vous avez pris jusqu 'à maintenant pour des hommes supérieurs.

-Nietzsche : Lune, mes rires ne sont pas les tiens et ma chère musique est celle de ton musicien préféré, Mozart te le dira lui même qui générera la flute de ton amoureux , car ni ma muse ni mes méditations n ' ont jamais pu remplacer le maelström du Voyageur du réveil qui te met sur un piedestal et qui te libère de chrétienne prise au piège de ton ignorance .

Regarde un peu dans les annales du Récit des musiciens de ta vie et mets le doigt sur la note rare du ré de réalité .

-Lune : Cette photo s'adressait donc à moi au tout de moi ? Avec cet élan dans le présent , ce provocateur de vie chez ce jeune homme qui me hisse sur le Mont Thabor ?

-Le voyageur du réveil: Oui ! Une non- distance Lune, une onde que mon désir communique comme apesanteur, corps et âme ..Je veux que les multiples plans sur lesquels tu te meus fassent sens ,se répondent entre eux que tu sois un clavier de piano que tu aimes tant, que toutes les touches produisent une musique envahissant mon tout .

-Lune : Je retourne sur le banc des amoureux à Mosta te prendre par la main .

-Nietzsche : Tu es enfin arrivée à perdre les données de tes inaptitudes à maitriser ton désir d' être adorée comme une déesse, mémorise le rire de l âne qui rit avec le rire de la condescendance.

-Lune : À quel prix ?

-Nietzsche : Au prix de tes rêves d' adolescente .Tu as dit « Oui » à plusieurs hommes sans les avoir mesurés alors qu ' il étaient réglés comme l 'âne , égarés parmi les hommes supérieurs pétris de clameurs et d'éclats de rire qui restent sans voix quand ma musique ne les atteint pas .

-Le voyageur du réveil:

Tu m 'aimes ?

-Lune :

Oui

-Le voyageur du réveil:

Écris- le

-Lune :

J e t'aime

-Le voyageur du réveil:

Dis le moi deux fois

-Lune :

je t'aime ....je t'aime ...