Dis bien à Dieu que je n’accepte pas ton absence.
Le cœur évanoui, je réunis un je à un tu.
Âme dorée à l 'orée des nuages , pulsation dans
l 'Infini , tu es le plus lointain et le plus proche des êtres que j’adore ,en ciel comme en fuite.
En plongée dans un mur en vrilles, ton sourire affaibli s’éloigne .
Chaque printemps sort d’une autre vie qui vient de dessous la terre.
Béni soit le rêve plein de grâces.
Je bondis de tes quinze ans à tes vingt ans, de la photo où nous nous trouvons tous si élégants sur les planches de Deauville jusqu’à un certain Noël à Cento Chiave chez nous.
Surtout ne rien oublier, pas l’once d’un jour heureux.
Au cœur d'une ténébreuse amphore, ma main sonde cette mystérieuse traverse que tu as empruntée, où bonheur ne fut qu’illusion, où homosexualité fut dispensatrice de tes punitions.
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