Un jour, la nuit m a tatouée .
J'éprouvai le besoin de plonger dans un univers caché sans langage ou les sons ne pourraient être déchiffrés que par moi
La violence de la déchirure où m 'entrainait la perte de mon père me révéla un état de moi où ma personne s'effaçait .
« Apartheid » venait de s'inscrire sur ma chair.
Dans un rêve où être sans être , état flottant , étranger , si nouveau qu' un nouvel être ne pouvait qu 'en jaillir .
J 'augmentai le son de du no 1 de Rachmaninov devant celui qui ne parlerait plus.
Autour de moi personne n 'osa lever un sourcil .
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