Sidi el Houari- La grande Sebkha- La Calére
Sidi el Houari La grande Sebkha La Calére
Sidi el Houari
La grande Sebkha
La Calére
Un trio en or massif...
Oran, crue, nue, sans arbres, en djellabas, en turbans danse le paso- doble.
Dans cette ville, la lumière tombe sur les trottoirs sur les gens sur les maisons avec ardeur sans subtilité avec la cruauté d' un acte de pureté absolue .
Ses habitants vivent les saisons et leurs humeurs au même rythme que les chants andalous .
Quand le ciel oranais ouvre ses portes même un royaume en herbes sèches se prend pour un Eden
Il y avait une fois, une oranaise.
Dans les sables des falaises de Gambetta, toutes les harmonies parfumées parentes du bonheur de l’enfance ondoient entre mes cousins, mon jeune père, et moi .
Dans le silence de cette terre aujourd’hui convertie en désert, les dunes de Canastel viennent à moi comme une bénédiction perdue .
Pas un grain de sable des Andalouses pas même la voix d'un vendeur de journaux dans les rues
d 'Oran ne se sont échappés de cet espace .
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