Je me suis installée chez Nietzsche et je me suis retrouvée les quatre fers en l 'air .
Les rues désertes n 'ont rien de solitaire, loin de là .
Elles offrent aux pierres une nudité complice, la jouissance et le miracle du réel suspendu des hommes marinant entre leurs quatre murs .
Au risque de me pendre à la poutre de la vérité, je vais tranquillement au devant du scandale de ma vie.
Je plonge mais la remontée sur la margelle masque encore les métastases pernicieuses qui érodent les restes de ma vie en les magnifiant de romans sans la réelle magie de la vie .
Mes ardeurs de vie entrent par effraction dans tes yeux .....
Requiem pour le sublime visage d' une toute petite fille en état de grâce divine .
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