Mémoire d' une Reine morte
Poème d’une petite culotte parfumée
Soyez simple cher amant
Soyez simplement l'homme d’un moment
Soyez l’homme qui me ment
Soyez l’homme qui me manque
Tes silences pétochards, je m’en tape.
Le sacré ?…
Ce que je comprends du sacré ?
Je ne peux le saisir dans ma chair seulement quand les mots se sont dérobés à leur sens pour se dévoiler à d’autres sens.
Sans ce détournement, que resterait-il de cet acte profond,
intime ,caché, de ces vibrations solaires comme le bitume surchauffé qui trouble la vue, comme le geste qui rend une femme haletante dans l’attente du long processus de l’effroi du désir.
« Effroi fait peur » mais c’est une peur femelle, lui, il en est bien conscient.
C’est cet instant précis qui donne vie à ce Dieu dont on ne sait si celui qui viendra montrera une réalité ou un rêve .
Vrai ou périlleux, ouvert ou mécanisé, inaudible ou muet dans l’attente d’une belle réalité.
Il me brisa le ventre en deux.
Ma joie eut l’existence de la durée d’un battement de cils.
Nous n’avions vécu que quelques nuits ensemble, quelques échappées sur des côtes ensoleillées qui auraient pu être macédoniennes ou javanaises… un trompe l’œil de vie, comme un clignotant que personne ne s’aviserait d’éteindre.
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