Souvenez-vous, chéri, mon rabbin d’occasion …....
Souvenez-vous, chéri, mon rabbin d’occasion, comment nous avons buté l’un sur l’autre.
J’avais profité d’un journal partant je ne sais où, je jetais une bouteille d’eau précieuse dans un océan, avec la folle certitude que je me liais à tous ceux qui auraient la patience et la gentillesse de me lire. Je n’avais pas attaqué dur.
-Tu m’as saisie et comme ces petites lumières qui brillent une fois, pour une personne,et tu m’as fait exister.
-Ma chère Taghrid nommer un chant d'amour c'est aussi nommer D.ieu, donc je me maudis de ne pas être le juste partenaire de tes nuits car rien de plus néfaste que la petite étincelle qui magnifie la fameuse paracha qui me dit de me garder d'un violent poison des mots, du corps mordu par la vie des sens. Donc ne va pas imaginer ma chère Taghrid que désir et amour sont dans le même lit .
-Chéri il vous faudra un Himalaya d' ablutions et de génu flexions pour vous faire pardonner ces mots , ces accents, ces ambiguïtés bien ordonnées, tout votre bastringue de philosophe à la noix pour que je me laisse baiser sans penser que vous êtes un homme qui se la joue en mode majeur.
A découvrir aussi
- Ce russe là m 'avait emportée, .
- Soupir d’ un immense accord qui s’évanouit comme une vie .
- Cette voie que l' on dit chrétienne ...Jusqu'où peut -on avancer ?
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 82 autres membres