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Rien de plus agitant que misère, maladie , virus et monde de mutations .

Ni la « Sangsue » ni le mal de Nietzsche ne peuvent régler la réalité des virus de l 'âme de Zarathoustra .

Elle mord la vie à coups de dents et prend le sang là où il est .

-Nietzsche : Pour toi le sang dont tu as besoin et dont tu te nourris c'est Zarathoustra donc mets toute ta musique, ta soif de vie dans les mots de Zarathoustra qui te compare avec mon piétiné .Tu es le piétiné de Zarathoustra .

-Moi : Je dois comprendre que Zarathoustra est mon pourvoyeur de vie ?

-Nietzsche : Oui Lune , mets bénédiction et souffrance dans le même panier car rien d'autre ne te sépare de ma sangsue que ta jeunesse d'esprit et ta naïveté . Damnation de

l ' intelligence car « Heureux sont les simples d'esprit , le royaume des cieux leur appartient ».

-Moi : Subtilité du piétiné dont l ' univers est le cerveau de la sangsue. Peut- on parler de

l' univers d'un cerveau de sangsue sans partager un enfer de souffrances ?

-Nietzsche : Mémorise ta putain de souffrance et crie la au monde entier ainsi tu auras peut -être la moitié des humains qui te comprendront et te remercieront de leur avoir partagé le cerveau d' une sangsue .Ton cœur est frappé avec maints coups de morts aussi matraquantes les unes que les autres .

-Moi : Dans le royaume de Zarathoustra , je ne souffrirai plus ?

-Nietzsche : Ma chère Lune tu es la lumière de la sangsue qui regarde le monde sans être dans le monde des argentés de la vie et met son petit art de comprendre avec son propre sang et sa misérable petite richesse qui est sa détresse , donc , sois ma chère Lune petite sangsue de lumière .

« Mais loin de toi pour l ' instant m 'appelle en tout hâte un cri de détresse »......